Dungarees pour la vie!

Bonnet homemade – blouse vintage – colliers Borali – sweat Maison Cornichon – salopette Club Stubborn – sneakers New Balance

Après un premier article où il était question de relativiser le rapport qualité/prix (vous pouvez le voir ici si vous n’avez pas eu l’occasion de le faire), me re-voilà pour un second article.

Quelques-uns m’ont fait la remarque via le forum BG (gentiment) que je ne m’étais pas présenté lors du premier article, donc je vais le faire rapidement maintenant, désolé pour le retard.

Présentation du bonhomme…

Nico, 35 ans, jeune retraité et encore plus jeune père au foyer. Après avoir fait mes armes dans les travaux publics, j’ai décidé de m’occuper de mon fils à temps plein, au moins les premières années de sa vie.

Niveau fringues, je viens d’un univers absolument pas formel donc, mais très masculin dans lequel se côtoient derbys bien cirées, chaussures de sécurité et claquettes chaussettes au milieu d’un joli vacarme et de la poussière. Je n’ai pas de style bien défini, et aime emprunter des pièces un peu partout, du workwear au streetwear en passant par des pièces casual ou vintage. Bref, c’est un peu le bordel, et c’est ça aussi qu’on aime tous sur le blog de Boras, un joyeux bordel qui sort un peu des sentiers battus.

… et de la tenue.

Après un article qui vous a j’espère servi, le ton du second sera un peu plus léger. Je vais vous parler d’une tenue qui regroupe justement trois facettes de mon univers, le streetwear, le workwear et le vintage.

Et tant qu’à essayer quelque chose de neuf sur le blog, voici une tenue avec une salopette. Enfin neuf, Ali a présenté deux tenues avec, mais ça compte pas, elle est trop forte. 🙂

La salopette est une pièce plutôt forte, que tout le monde a porté au moins une fois dans sa vie (si si, demandez à vos parents). Il existe beaucoup de designs (de la classique en jean à la moins classique comme celle-ci qui est une interprétation d’une salopette de pont américaine) et beaucoup de manières de la porter (près du corps ou non, plus ou moins basse, sans les bretelles, avec une seule…etc).

Dans tous les cas, c’est une pièce qui peut paraître forte au premier regard, mais qui est en réalité assez facile à adopter, et je vais essayer de vous en convaincre.

Notez les verres photochromiques, qui sont très pratiques, mais pas du tout photogéniques. Et le pire c’est à cet instant, légèrement teintés mais pas beaucoup, bien vieillot.

La blouse d’instit de nos grands-parents, intemporelle. 

C’est une de mes vestes de mi-saison préférée. Passionné de vieux objets, j’aime particulièrement cette blouse d’instituteur des années 50/60. Trouée et rapiécée de partout, tâchée d’encre, d’un gris chiné assez terne de loin mais qui se révèle finalement très beau de plus près, c’est le plus vieux vêtement de mon vestiaire et je prends plaisir à le porter régulièrement.

Les manches assez courtes permettent de faire ressortir des pièces plus longues (ici ce n’est pas le cas parce que les manches du sweat sont courtes elles-aussi) ou tout simplement d’avoir les poignets à l’air. Vous allez vous demander pourquoi est-ce si important d’avoir les poignets à l’air? La raison est assez simple, c’est un point de repère visuel (et c’est agréable quand il fait un peu chaud haha). En effet, l’importance de points de repères est souvent négligée sur une tenue loose ou wide. 

Les manches courtes qui finissent quelques centimètres avant les poignets.

L’instant conseil sur une silhouette loose ou wide.

Pour éviter de ressembler à un sac à patates ou pour ne pas se noyer dans une masse énorme de tissu, voici LE conseil que je peux vous donner: fixez des points de repère pour l’oeil extérieur.

Ces points de repère sont assez simples à retenir, ce sont les chevilles, les hanches, les épaules et les poignets. Il n’est presque jamais possible de les avoir tous en même temps, mais plus il y en aura, plus la silhouette sera facile à lire. Si vous noyez ces points sous des couches de vêtements qui stackent de partout et dessinent une silhouette assez slouchy (vague et molle), à de rares exceptions près, vous aurez juste l’air de nager dans vos fringues.

Ici, veste portée, on note la cassure de l’épaule, on voit le poignet et la cheville. Malgré l’ampleur des vêtements et leur drapé, l’oeil comprend. Si les manches avaient été trop longues et que le pantalon avait caché la cheville en stackant sur la chaussure, il aurait été plus compliqué de garder un certain dynamisme dans la tenue.

On note trois des quatre points de repères: l’épaule, le poignet et la cheville.

Il y a bien sûr des cas plus complexes et des subtilités sur les silhouettes ultra wide par exemple, mais le principe reste le même: fixer des points de repère. Je parle bien entendu de loose ou wide fit, il est évident que sur un fit plus ajusté, la question ne se posera pas, il y a des points de repère partout.

Quelque soit l’angle, il y a toujours des points fixes pour accrocher l’oeil. De dos, de côté, veste fermée, ouverte ou sans veste.

Digression sur la silhouette…

Dans la culture japonaise, le confort est un point essentiel de l’habillement. Ce genre de silhouette est bien plus dans la norme que chez nous les occidentaux. A grands renforts de marketing, la silhouette slim est devenue une référence (de plus en plus slim au fil du temps soit dit en passant). Il est souvent assez déstabilisant de s’essayer à des choses plus loose.

J’ai eu une période très slim aussi, et je me souviens que j’avais horreur des plis que pouvaient faire mes chemises, que je me changeais avec bonheur le soir pour du homewear super confortable. Avec le temps, j’ai changé (tout le monde évolue), et maintenant j’aime le drapé qu’apporte le loose (Solara en parle très bien ici).

Mais j’aime aussi les silhouettes plus ajustées, tout est question d’équilibre et d’harmonie.

Fin de l’instant conseil.

Fermons la parenthèse et revenons à cette blouse. Trois poches plaquées, une coupe droite, un petit côté austère propre à la fonction et l’image que devait renvoyer le corps professoral à cette époque, c’est parfait pour calmer la salopette. J’ai dû la reprendre sur la manche où il y avait un trou énorme, et j’ai cousu deux patchs sur des endroits fragilisés. Il manquait également un bouton, et j’aime bien ce côté fait avec les moyens du bords du bouton dépareillé. 

Aperçu des réparations suite au passage du temps.
Pose très professorale, mains dans le dos, regard bienveillant sur le premier rang (toujours les mêmes au premier rang hein?)

De marque ‘Le pélican‘, de fabrication française, elle tombe juste au dessus du genou, comme un manteau classique. Il en existe de bien plus longues, et j’espère un jour en dégoter une plus longue, pour pouvoir encore plus m’amuser sur les longueurs intermédiaires. 

Le gris chiné (enfin pour être exact c’est plus un gris moucheté de blanc et de noir) est finalement assez intemporel et vient aussi calmer une tenue avec un parti pris assez fort. 

Les tâches d’encre au fond des poches et les trous de cette blouse lui apportent une âme, une histoire. C’est ce qui fait son charme (le fameux wabi-sabi japonais), et là encore une perception complètement différente de ce qu’on a en occident. Mettre en valeur les traces du passé et ne pas essayer de les camoufler.

L’étiquette de la marque cousue sur la poche intérieure.

Je lui trouve même un charme fou, avec son col qui rebique et vit sa vie comme il en a envie, ses marques du passé qui me renvoient des images d’une époque que je n’ai pas connue et ne peut qu’imaginer.

Elle n’est pas imperméable, n’est pas chaude, n’est pas moderne dans sa coupe, n’est pas d’une couleur joyeuse, n’est pas coupée dans un tissu magique issu des plus grandes filatures, mais c’est incontestablement la pièce que je préfère mettre sur les épaules en cette période de l’année pour ce qu’elle est et ce qu’elle a vécu.

Zoom sur la couleur. Vous noterez les tâches d’encre au fond de la poche stylo, un détail qui a son charme.

La pièce forte de la tenue, mais pas tant que ça.

Évidemment, je parle de la salopette. La blouse est aussi une pièce forte, mais elle prends moins de place visuellement. C’est un modèle inspiré selon la marque d’une salopette de l’armée britannique. Elle me fait plutôt penser aux salopettes de pont de l’US navy pendant la seconde guerre mondiale, mais comme je n’y connais rien (comme vous l’avez déjà compris lors de mon premier article hahaha), on va passer sur la dénomination et ne retenir qu’une influence militaire du monde anglo-saxon. 

Sa dénomination colorimétrique étant khaki, j’utiliserai la même. Ca m’arrange, d’une parce que je suis daltonien, et de deux parce que le khaki, c’est la vie. 

Voici donc une salopette d’influence military/workwear khaki de la marque Club Stubborn. Je ne connais pas vraiment cette marque, cette salopette étant mon premier achat chez eux. Pour tout vous dire, je ne sais même pas où est basée la marque. C’est asiatique, mais je n’ai pas fait attention à l’adresse sur le colis et ce n’est pas mentionné sur le site.

Bon ça fait beaucoup moins prof d’un coup…
Et pour ceux qui se demandaient pourquoi une paire de skis, voici la réponse! 🙂

Un tissu léger, polyvalent sans être exceptionnel.

Le tissu ne fait pas spécialement rêver, il est plutôt léger et sans trop d’aspérité. Bref, la main n’est pas terrible, mais comme la pièce est assez forte, ce n’est pas trop gênant. Les finitions sont correctes, sans prétention. Ca aurait mérité quelques points de renforts cousus au niveau des poches par exemple, mais pour le prix (125 dollars frais de port inclus), je ne vais pas demander la lune.

En fait, j’aime bien la légèreté du tissu, qui me permettra de la porter par temps chaud, et avec un caleçon long par temps froids sans problème. Sur cette pièce en particulier, je trouve ça plutôt intéressant.

Les poches un peu partout sont un bonheur pour moi, comme je vous le disais je suis père au foyer et c’est devenu une nécessité de ranger plein de choses partout facilement accessibles (doudou, clés, téléphone etc etc). J’aime beaucoup le twist qu’apporte la disposition asymétrique des poches. Accessibles, sécurisées avec les boutons, elles sont vraiment pratiques.

Salopette Club Stubborn – Sweat Maison Cornichon – Colliers Borali
Coupée bien au dessus de la malléole pour dynamiser la silhouette.

Pas de ceinture= confort absolu!

Concernant le port en lui-même, c’est absolument génial! Cette impression de ne pas être serré à la ceinture, associée à la légèreté du tissu et son drapé sont une expérience intéressante. Je porte tous mes pantalons une, deux, voire trois tailles plus larges que ma taille naturelle (size up comme le matraque régulièrement Boras depuis des années), mais ça n’empêche pas de devoir les serrer à la ceinture (soit par une ceinture, soit par un cordon). Là, ça flotte. Quel confort!

J’ai délibérément choisi une taille importante, comme vous pouvez le voir sur les photos, mais ça peut aussi marcher avec un fit moins large. Attention, je dis bien moins large, pas slim hein! Je n’ai rien contre le port de vêtements slims, mais là ce n’est pas la pièce pour le faire. Déjà une salopette classique toute bête en jean doit avoir de la marge à la taille, mais ce modèle encore plus. Pour rester dans l’esprit de la deck overall d’origine, qui se portait par dessus la tenue classique, et pour profiter du tombé de la pièce.

Hyper relax fit. A moi les repas de fêtes! ^^
Ouverture de jambe généreuse, pour encore plus de confort.

Avec quelles couleurs porter une salopette?

Un autre avantage à porter une salopette, c’est que la pièce que vous portez en dessous est beaucoup moins visible, étant bien cachée par les deux rabats supérieurs (un devant et un derrière). C’est un gros plus pour le daltonien que je suis, non pas que je passe beaucoup de temps à chercher ce qui va avec quoi, mais là j’en passe encore moins. Je la porte avec du blanc (cassé ou non), du gris, du bleu, du noir. Chemise, tee-shirt, henley (même si on peut vite tomber dans le premier degré avec un henley), sweat-shirt. Le champs des possibles est large, vous voyez, ce n’est pas une pièce si dure à porter. Le plus compliqué est de sauter le pas. 😉

Des détails intéressants.

J’aime beaucoup les fonctionnalités apportées par tous les éléments secondaires, tels que les pattes de serrage sur les côtés, la braguette inversée qui s’ouvre de bas en haut, pratique quand on voit qu’elle remonte très haut (d’ailleurs si quelqu’un a une idée de la raison, je suis preneur. Sur le modèle original de l’USN, c’est pareil.), les poches plaquées boutonnées, les fermetures en crochet… J’ai vu sur le site de la marque qu’une version en laine grise au motif HBT est en cours de développement, j’ai hâte qu’elle sorte tellement ce modèle me plaît.

Zoom sur quelques détails.

Poche plaquée sur la poche. Vous pouvez voir le patch de la manche de la blouse de plus près aussi.

Maison Cornichon, une marque bien connue ici.

Pour accompagner cette salopette, j’ai choisi un sweat-shirt noir de la marque Maison Cornichon. Vous connaissez sûrement cette marque si vous fréquentez régulièrement le blog, je ne vais donc pas trop développer, mais juste vous dire deux choses: made in France, grosse qualité.

La coupe très boxy (je vous l’accorde, on ne le voit pas du tout ici) est vraiment facile à intégrer dans les univers qui sont les miens.

Le molleton est vraiment agréable et les manches raglan sont parfaites pour mes fits. Les bords côtes lâches (dans le bon sens du terme) se font oublier, et il n’y a rien de plus désagréable qu’un sweat dont les bords côtes sont trop serrés je trouve. Je suis fan de ce sweat, mais comme on ne le voit pas beaucoup dans cette tenue, je vais en rester là dans l’éloge, vous pouvez retrouver ce sweat mieux mis en valeur sur Boras ici par exemple.

Le noir du sweat met encore plus en valeur la salopette et les colliers je trouve.

NB, la sneaker de papa.

Aux pieds, une paire incroyablement légère et souple, mes New Balance CT400. Ma seule paire de NB, mais qu’est-ce que je l’aime. Si je devais ne choisir qu’une paire parmi toutes celles que j’ai pour partir en voyage, en vacances ou je ne sais où, ce serait celle ci. Montées sur semelle Vibram, c’est un bonheur à porter. Pas en hiver par contre, elles ne sont pas très épaisses. Mais le reste de l’année, c’est parfait. 

La shape est intéressante, elles me font penser à des designs des années 80/90 remis au goût du jour. Elles s’intègrent assez facilement dans des looks streetwear ou workwear, et je suis absolument fan des semelles Vibram.

Côté couleurs, blanc, écru, gris et une touche de bleu. Ca passe presque avec tout.

Souplesse de la semelle Vibram!
Logo discret, shape classique, couleurs sobres, semelle souple, que demander de plus?

Les accessoires: un peu de homemade et du Borali bien sûr.

Un bonnet homemade.

En octobre, le temps est souvent traître, et c’est la plupart du temps par la tête que j’attrape froid. J’ai donc opté pour un bonnet tricoté par ma chérie. Mais pourquoi rouge? Pourquoi aussi criard? Une autre couleur n’aurait-elle pas été plus judicieuse? Et bien à dire vrai, ce n’est qu’un bonnet, on ne va pas commencer l’overthinking maintenant, c’est la fin de l’article. Donc il est rouge, hommage aux bretons, aux bagnards toulonnais, au commandant Cousteau, au bonnet phrygien? C’est comme vous voulez, moi ça me convient.

Je me suis souvent posé la question de savoir s’il fallait ou non assortir son bonnet à sa tenue. Des fois ça fonctionne, des fois non. Soit c’est bien senti et ça passe tout seul, soit c’est try hard et on sent un peu trop la volonté d’assortir le bonnet à la tenue. Du coup, j’ai fini par faire au feeling. Des fois c’est assorti, des fois non. Au moins ça va plus vite à choisir. 🙂

100% laine, le temps passé à tricoter ces bonnets est quand même assez fou, alors j’en prends particulièrement soin. Il y a quelques erreurs de tricotage dessus, et vous savez quoi? C’est ce que je préfère.

Colliers Borali.

Et un joli combo dont je suis assez fier autour du cou, un combo drops 1 et 2 de Borali. J’en suis assez fier parce qu’il a fallu refresh à coups de F5 et être rapide pour les avoir tellement ils sont partis vite. Sold out en trois et sept minutes, c’est beau hein?

Et vous le savez sûrement, ou l’avez entendu dire, ce n’est pas fini! Avec un peu de chance je réussirai à faire une triple crown! C’est l’aboutissement de la tenue, c’est fait main, ça aide à financer à beau projet, c’est beau et relève une tenue de loin comme de près, j’aime beaucoup ces colliers.

Et pour ceux qui hésitent un peu, c’est très facile à porter, dans des looks casual aussi bien que dans des tenues plus street ou workwear. Et si on vous pose la question ou qu’on vous fait une remarque, c’est l’occasion de parler de Borali et de soutenir le projet.

Le drop 1 en beige et bleu, et le drop 2 en bleu, reconnaissable grâce à sa magnifique bague en laiton.
On termine avec une pose borassienne pour le fun.

Un peu d’audace et le tour est joué.

On a fait le tour de la tenue, il est temps de conclure cet article. Déjà je tenais à vous remercier pour les retours sur le premier, via le forum BG en particulier, votre sympathie m’a beaucoup touché. C’est assez chronophage d’écrire et de prendre des photos pas trop moches, alors d’avoir le sentiment que ça sert à certains d’entre vous et que ça plaît à d’autres (ou aux mêmes), c’est une bonne chose et ça motive à continuer.

Composer une tenue selon son envie, mais surtout selon son besoin!

Ensuite, et on l’oublie beaucoup quand on commence à s’intéresser au vêtement et à la mode masculine, ça me paraissait important de vous montrer une tenue qui répond à un besoin, qui a une utilité autre qu’esthétique. Ma vie a changé depuis quelques mois et la venue au monde de mon fils, mon mode de vie a changé par la même occasion.

Même si j’aime les beaux vêtements bien conçus, le risque de régurgitation, de crachat de purée et l’impression de devoir transporter une valise partout avec moi ont fait un peu évoluer ma manière de m’habiller.

Le vêtement, avant d’être beau, doit répondre à un besoin de son porteur. C’est la meilleure manière de pas se déguiser et de ne pas avoir l’air premier degré ou hors sujet dans son environnement. Besoin de poches, de souplesse et de confort? Dungareeeeees!

Le mot de la fin.

Comme la première fois, n’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez (de l’article, de la tenue, de votre sentiment ou de la pertinence de mon propos), je suis loin d’être parfait, et suis ouvert à toute remarque, positive ou négative, avec du fond. Je sais que vous auriez préféré voir Boras avec son chaton lové dans de la polaire, mais il faudra patienter encore un peu pour ça, enfin j’espère.

Et pour finir avec une citation différente du premier article, voici une phrase de Benoît, co-fondateur de la marque Bonne Gueule, qui m’a beaucoup plu quand je l’ai lue sur le forum BG: Peace les gars! Le jour où je posterai une tenue qui fera l’unanimité n’arrivera jamais et… c’est OK, je suis à l’aise avec ça. 

Et oui, on passe de Petit Bateau à Bonne Gueule, ce level up de fou entre le premier et le second article! Sans rigoler, ces deux phrases (les vêtements et ce qu’on peut faire dedans et celle de Benoît) sont assez représentatives de ce que doit être le vêtement, un moyen de s’amuser ou de travailler sans trop penser au regard des autres.

Et tiens, j’en profite avant de partir, n’hésitez pas à me rejoindre sur Instagram, j’ai ouvert un compte il y a peu de temps pour partager mes délires vestimentaires: c’est ici que ça se passe.

Allez hop, à bientôt les loulous.

 

Par NiKKo_O

Passionné de passions, chineur de vieilleries devant l’éternel, j’aime autant les fripes que les dernières collections de marques japonaises. Ça donne des mélanges bizarres, des fois très cools et des fois pas. J’espère vous apporter un œil nouveau et différent de celui des autres rédacteurs, même si nos influences sont les mêmes.

Un style pointu et des conseils simples

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