Même s’il a neigé hier, nous sommes en avril et en droit d’espérer voir la chaleur revenir. Mécaniquement, les cous vont bientôt à nouveau se dévoiler et plus que jamais, arborer un collier Borali sera gage de tenue réussie. Je plaisante bien sûr, bien que la saison soit idéale pour porter nos bijoux. On a travaillé sur une petite collection aux couleurs de saison.
Borali mange son pain noir mais on a une date
« Nous voulions bien faire votre jean mais il faut prendre un coupe de notre catalogue »
Voilà ce que nous avons souvent essuyé de la part des usines au Portugal et ailleurs quand on arriverait avec notre dossier technique sur la coupe Borali.
Donc forcément, on s’en allait, après quelques tentatives de négociation. Toutes vaines.
Pas grave.
Il y a déjà mille marques qui le font comme ça, et bien en plus. Nous, ce n’est pas notre crédo et personne ici ne veut faire des vêtements pour accoucher de ça.
Mais heureusement, un ami expérimenté nous a pris sous son aile et nous aide à pousser notre projet au sein de son atelier. Nous sommes dans les starting blocks pour septembre du coup.
Si on aurait aimé te proposer notre bleach au printemps, on va se consoler en se rappelant que de toute façon, un jean passé les 25 degrés, même large comme le nôtre, ça devient vite désagréable. On espère que tu sauras patienter.
Et qui sait, on aura aussi peut-être une bonne nouvelle sur le one wash japonais, parce qu’on n’a pas lâché l’affaire avec notre denim maker.
Intercollar pour les matinées fraiches et les douces soirées
Alors pour l’Intercollar, notre protège-cou, c’est un mélange de frustration et de kiff.
Frustré car les prototypes reçus il y a un mois n’étaient pas bons donc la production ne pouvait pas être lancée. En revanche, c’était un correctif minime, les boutons étaient mal placés et pas les bons. Rien de grave et pourtant, ça a explosé le délai.
Notre atelier français nous a mis en fin de chaîne, logique vu ce que ça représente.
Alors quand on voit le froid et à quel point me ils sont utiles tous les jours ces prototypes, je suis agacé!
Néanmoins, ils sont superbes et correspondent à ce que l’on voulait. Même s’ils sortent un peu tard dans la saison, on espère que tu seras au RDV. Là encore.
Parce que oui, on a besoin de sortir des choses, vous montrer notre travail, moralement et financièrement.
Et puis, si on a droit au printemps de l’année dernière, ils te seront plus qu’utiles au quotidien.
Quelques photos du drop de colliers aux couleurs du printemps
Pour ce premier drop du printemps, nous tenions à retrouver des tons qui renvoient à la douceur de la saison, en gardant les couleurs que l’on aime.
De fait, ce sont 3 coloris qui satisferont aussi bien un style heritage que casual et les couleurs de prédilection que l’on te partage sur Borasification.
Alors que l’on a surement jamais autant parlé de violet que depuis ces dernières semaines, il nous en fallait forcément un dans ces tons. Nous avons réussi à la dégotter sur une tunique de travail vintage, une française.
On retrouve des touches de jaune et de bleu clair, ce sont les subtilités que l’on aime et qui pimentent une tenue.
Pour le second, c’est un mélange de orange, blanc cassé et une sorte de rouge passé / rose. Lui, sur un tee-shirt blanc et une veste militaire ou une surchemise en denim, c’est banco!
Si tu es du genre à porter des casquettes, ce sont des couleurs que l’on retrouve cette saison pas mal chez les marques donc à toi les jeux de couleur.
Enfin, un coloris plus technique et qui je pense va plaire puisqu’il transpire le printemps. Avec son mélange de orange, jaune, vert et blanc, dans tons tons doux, il dégage un truc.
Idem, il coloriera ton haut et tu pourras jouer à des associations de couleurs sympas sur d’autres détails de ta tenue
Pour la date de sortie, c’est aujourd’hui à 11h, je te mets le lien du shop ici.
Borali ne communique plus mais ça va changer
Peut-être que tu nous suis depuis le début et si c’est le cas, doublement merci. En effet, après 2 ans de Covid a essuyer les refus et prototypes ratés, Julien et moi avons décidé de nous faire discrets.
On a bossé nos bijoux car c’est notre ADN et on est fiers de ce que l’on fait, donc pas question d’arrêter.
(et je pense que Julien crée les plus beaux au monde #marketingdusuperlatif)
On a préféré arrêter de parler, partager nos idées et limiter les effets d’annonce.
Mais Borali doit devenir la marque que l’on a imaginée alors on s’est renforcés et Nicolas que tu as peut être déjà lu sur le média, va aussi nous aider à développer la marque.
En résumé, nous allons plus échanger avec toi d’ici peu, sur notre newsletter mais aussi sur notre site, que l’on va faire revivre différemment. Et bien sûr via Instagram, que nous délaissions à une époque où c’est le principal levier pour garder contact.
À très vite et n’oublie pas de jeter un œil à notre sortie de colliers!