Borali est de retour, et c’est avec un nouveau bracelet. Si tu n’as pas envie de lire l’article : RDV à la fin de l’article avec toutes les infos ! Après, ça vaut tout de même le coup de regarder, les images. Le bracelet, toujours upcycling, est tressé dans un chambray un peu particulier.
Borali – les nouvelles du front
On ne t’avait pas menti : il ne se passe plus des mois entre les drops ! Julien et moi sommes ambitieux, vos retours nous ont galvanisés alors plus question de perdre du temps. Du moins, sur ce que l’on peut maîtriser. On t’explique tout.
La noragi française
Alors je n’irai pas par quatre chemins, c’est compliqué. Et c’est un euphémisme.
Les délais sont d’office mort, notre contact qui nous aide, fait surement face à une situation complexe avec le contexte que tu connais. Résultat : aucun retour depuis des semaines, notre matière est bloquée dans l’atelier, pas de nouveau proto et donc pas de nouveau test sur les délavages.
C’est un coup dur pour nous et clairement, sans notre ADN 100% indépendant avec nos bijoux artisanaux, Borali serait en péril.
Pour autant, on ne va rien lâcher et ça finira bien.
Le jean
Là, en revanche, ça avance. Depuis que j’ai partagé ce proto bleach fait au Japon, l’engouement est monté d’un cran. Et si cela laisse penser que c’est éminent, on doit changer un truc dans la coupe et financièrement, on ne peut pas enchaîner les proto depuis le Japon. On enchaine les discussions et correctifs avec notre modéliste.
On ne va probablement pas le faire par notre denim maker dans la mesure où l’on partirait sur une gamme de prix qui en exclurait beaucoup d’entre nous.
Alors comme le jean va être le point de départ de la silhouette Borali pour les années à venir, on veut que chacun (et chacune d’ailleurs) puissent y avoir accès.
Du coup, on va surement voir avec nos amis de Phi Denim pour trouver un atelier qui soit du niveau des jeans japonais que l’on ne présente plus.
Pour le moment, le délais à l’automne se tient.
Et ça c’est la bonne nouvelle.
Ajustement sur le e-shop
Comme chaque drop, c’est parti à une vitesse éclaire. Quelques minutes tout au plus.
Et si pour nous, c’est une reconnaissance de dingue, ça fait naître de la frustration chez beaucoup.
Alors on a réfléchi et retourné le problème dans tous les sens.
La conclusion : il n’y pas de solution idéale.
Sauf se mettre à faire des colliers 3 fois plus vite, moins beaux, plus cheap. Ou pire, les faire faire je ne sais où… Adieu l’upcycling, le local, notre éthique et nos valeurs.
Alors on s’est dit qu’on allait tester la limitation du panier à un article pendant quelques drops de colliers. On verra ce que ça donne en juin avec une sortie multi.
Le second point, dès que les friperies réouvrent, sera de chiner des matières qui nous permettent de faire des coloris proche de ce que l’on a proposé par le passé. L’impact, ceux qui ont déjà une nuance de rouge par exemple, ne se repositionnera pas dessus.
Voilà nos modestes mesures.
Borali – un bracelet tressé à partir d’un chambray japonais tout en texture
Un chambray japonais d’une ancienne chemise haut de gamme
Quand nous créons nos bijoux avec Julien, l’origine du vêtement n’a plus aucune importance. C’est là, la valeur ajoutée de l’upcycling qui, comme son nom l’annonce, vient sublimer le vêtement initial.
Et nous, nous transformons chaque pièce chinée en matière première donc l’étiquette n’a plus aucune importance.
Seul ce que l’on arrivera à en faire compte.
Pourtant là, quand j’ai déniché cette chemise, ça a été un gros kiffe. Le col complètement jauni et effiloché, la chemise n’avait plus de futur. Du moins sur les épaules d’un mec.
C’est là que nous intervenons avec Borali.
Je connaissais bien cette marque, ses chambrays japonais étaient dans les plus beaux tenus dans mes mains.
Bim, je la prends, je la montre à Julien : « ah ça, elle part en recyclage pour nos prochains bracelets ».
Voilà donc la petite histoire.
Et si l’on privilégie des chambrays pour nos bracelets, c’est qu’ils se patinent et cela devient vraiment beau.
Ce nouveau bracelet n’échappe pas à la logique.
Avec ce chambray texturé, en indigo léger, il viendra habiller ton poignet sans jurer, quelque soit ton style.
Borali – Bracelet Necto et rappel du sizing
Avant-tout, tu peux retrouver toute l’histoire du bracelet Borali dans l’article du drop 1.
Depuis, on lui a trouvé un petit nom : Necto.
Toujours en partant du latin, la traduction tourne autour de nouer, lier, entrelacer, ce qui allait avec notre création.
Pour les tailles, tu as tout ici.
Ne te mets pas la pression, ça se détend et ça n’est pas un costume de tailleur, si ça flotte un peu, rien de grave. Astuce, tu peux toi-même le régler si jamais il est trop grand, tu as seulement besoin d’une petite pince.
Une tenue avec une noragi bleach et le nouveau bracelet Borali
C’est une tenue du dimanche que je porte depuis des années, et qu’à présent, je peux porter avec une noragi Borali.
(si tu veux en voir plus, je t’invite à consulter ce cahier de style là).
Ce bracelet passe tout seul dans des tenues avec beaucoup de denim. J’ai justement passé une pièce bleach pour te montrer que même avec une chemise western Levi’s, les vintage par exemple, ça ne fera pas tâche.
Ou encore dans une tenue d’inspiration militaire héritage, marié à du cuir, il excellera tout autant.
Enfin, on te fait confiance pour te faire plaisir avec.
Les infos essentielles pour le drop
T’as vu, j’ai fait light pour ce lancement. Et l’on va laisser parler les images de plus en plus. On veut que Borali te fasse kiffer en te faisant brillant les yeux, et non en rentrant par les oreilles.
Donc pour le lancement de ce bracelet :
- il y 1 modèle de bracelet
- toujours de l’upcycling
- un chambray japonais sur cette tresse
- toujours entièrement fait à la main
- en France (bien sûr)
- la sortie
- c’est ce samedi 15 mai
- à 14h
- sur le e-shop de Borali
- tu peux déjà te créer ton compte
- et rentrer tes infos
- (t’inscrire à la newsletter si jamais)
- on reste disponible sur Instagram si tu as des questions
Voilà, tu as tout.
Ah et avant de te laisser, on a déjà commencé le prochain drop de colliers. Julien, le plus mesuré du binôme, m’a envoyé : « c’est peut-être le plus beau de nos drops »
L’art du teasing ?
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