Salut tout le monde, me revoilà après une longue absence. Trop longue absence, ce n’est pas l’envie qui me manque loin de là. Mais ce sont plutôt les circonstances qui m’ont conduit à être absent de la sorte.
En décembre 2018, je suis descendu sur Paris pour un concert. Celui pour la sortie du nouvel album de Flynt et n’étant pas du tout du coin, Boras m’a prêté son canapé.
Il était évidemment impensable que je reparte sans faire un shooting pour le blog.
La tenue n’est plus trop de saison, tentez de vous souvenir du froid en lisant l’article.
Assez parlé, rentrons dans le vif du sujet. Encore une fois, dans cette tenue, on retrouve tout ce que j’aime : des pièces fortes, des détails, des belles matières et des coupes amples.
Pour plus de facilité, on va procéder pièce par pièce.
La « Sanjuro Down 2017 » de chez Visvim.
Au départ c’était une pièce que je n’aimais pas du tout, ce mélangé kimono/bombers, cela me parlait pas du tout (et ce, sans parler du prix)… Mais comme on dit : « Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! »
À force de la voir portée sur I.G., dans des looks qui me parlaient nettement plus que ceux des lookbooks Visvim, et bien mon avis a changé peu à peu.
Pour faire simple, la pièce est dingue, il n’y a pas d’autre mots. C’est vraiment du Visvim au sommet de son art. Elle a subi le traitement « damaged » de la marque japonaise. Contrairement à certaines pièces « footwear », ici, c’est assez discret. Le rendu est vraiment parfait. Ça apporte de la profondeur au tissu et des nuances vraiment magnifiques dans les bleus.
La pièce est pleine de détails, les coutures « boro », la doublure orange ( je tiens à préciser que les photos ne lui rendent pas du tout honneur), le col, les poches par ci par là, etc, etc.
Comme je l’ai dit plus haut, on est sur une pièce de chez Visvim pure et dure comme j’aime. C’est simple, la pièce est montée sur le podium de ma garde robe.
Norse Projects, premier amour et chemise
Sous la Sanjuro Down, je porte une chemise de chez Norse Projects, c’est un label que j’ai toujours apprécié. C’est d’ailleurs un des premiers que j’ai connu au moment où j’ai commencé à m’intéresser aux vêtements. Au départ, c’était pour leur « 5 panels », une des seules marques à en produire à l’époque. Pour en revenir au sujet de départ, c’est une chemise que j’aime beaucoup, j’aime les nuances du tissus, j’aime les boutons en bois où il est écrit le nom de la marque, j’aime la coupe un peu plus simple, classique par rapport à ce que j’ai l’habitude de porter, elle me permet de faire d’autres combos. Cerise sur le gâteau, la matière tient particulièrement chaud.
Des labels japonais pour le bas
Pour le bas, c’est un pantalon de chez Edwin, pas grand chose à raconter dessus. Par ailleurs, si vous regardez mes photos sur IG vous le verrez souvent, je l’ai bien poncé. Il vas devoir bientôt passer par la case réparation au niveau de l’entre-jambe. Comme pour tous mes pantalons, je le porte comme si j’allais à la pêche aux moules, je supportes pas qu’il y ait un « tombé » sur la chaussures.
Aux pieds, j’ai une paire de Visvim, des « Virgil boots kngr », je pense qu’avec ce cuir, c’est ma version préférée, je bavais sur la version de 2010. Et dès l’annonce de celle ci, j’étais comme un enfant le matin de noël, j’espérais juste que ça soit dispo chez nous. Dés que je les ai reçues, j’ai compris pourquoi je les voulais. Le cuir est magnifique, on y retrouves mille nuances de couleurs, il est doux, il se patine à merveille.
Sur cette version, en comparaison avec d’autres (exemple la « horsehide » de cet été), le shape est plus affuté, la boots est moins massif.a la base je viens de la sneakers, si on m’avait dit un jour que je parlerai du shape d’une paire de boots, je ne l’aurais jamais cru.
Accessoiriser sa tenue
Pour finir, les accessoires, vous avez déjà pu voir les trois dans des articles précédents.
Le porte clef/collier vient de chez La Perruque, une marque de maroquinerie suédoise, provenant d’une ville du sud appelée Malmo, j’en parles un peu plus dans un de mes anciens articles. Pour le sac, il provient de Engineered Garments. Si jamais, ceux de cette saison sont dispos chez les revendeurs de la marque. Le bob (paix à son âme, je l’ai perdus lors d’une soirée), viens de chez nos amis de B.D.P.
Bonus track
J’espère que ça vous a plu, rien de trop nouveau à l’horizon, c’est un peu un de mes uniformes de tous les jours et c’est pas très éloigné de ce qu’on a l’habitude de voir par ici, j’espère que mon prochain article sera dispo avant septembre haha.
PS: Petite photo bonus.