La rubrique « seconde lecture » fait son grand retour ! C’est une série d’articles où je te propose un regard nouveau sur une pièce, une autre façon de l’interpréter et de la porter. Je l’avais déjà fait avec une pièce Bonne Gueule : le pantalon en canevas. Je peux aussi faire des sélections dans de grandes enseignes comme Uniqlo, Gap ou Monoprix, pour les petits budgets. L’idée est alors de montrer qu’avec un regard affûté, on peut aussi se faire plaisir sans débourser des mille et des cents. Aujourd’hui, je m’attaque à une autre pièce BG, sortie il y a bientôt 3 ans : le bomber travel tech gris.
Pourquoi, qui, quand, comment, avec qui, où, je te dis tout sur ce bomber en super strecht pro de Polartec !
Le bomber technique de Bonne Gueule, c’est quoi ?
Je t’épargne le remake de l’article de lancement du bomber, il est exhaustif comme sait si bien le faire l’équipe de BG. Ici, l’idée est de simplement faire une petite description objective de la pièce. Tu n’es pas forcément un lecteur ou client de la marque. Et puis, c’était il y a longtemps, tu aurais pu oublier. La première lecture en somme.
Un mid-layer toute saison
Je me suis tâté sur comment formuler tout ça et plutôt que de me lancer dans de longs pavés, je te fais un résumé de ce que j’ai retenu de la pièce.
Ce bomber :
- est un mid-layer, autrement dit une couche intermédiaire entre ton tee / ta chemise et un outwear
- de couleur grise (développée spécialement pour Bonne Gueule)
- qui peut aussi se porter en dernière couche
- il est tout saison car thermo-régulant
- et ce, grâce à son tissu
- le Power Stretch Pro de Polartec
- qui offre de solides propriétés techniques
- comme
- une liberté de mouvements totale avec un stretch 4 directions
- une évacuation de la transpiration facile (pas une étuve comme le fleece classique)
- respirant pour être toujours au sec (mais ce n’est pas une couche hein)
- peut se rouler en boule sans se déformer
- avec une matière résistant à l’abrasion ( 58% polyester / 9% élasthanne / 33% nylon)
- et lavable en machine
Et si tu veux approfondir, je te laisse prendre connaissance de l’article de présentation écrit par Benoît.
Il a été pensé et conçu pour être un vêtement qui soit utile toute l’année et dans un tas de circonstances différentes. De ta soirée d’été à ton layering d’hiver en passant par tes voyages en avion ou bien même tes journées à chill à l’appart (ou maison si tu as de la chance).
Je ne te cache pas qu’à sa sortie, je n’y ai pas vraiment prêté attention. Je découvrais à peine la gamme de produit de Bonne Gueule après avoir rencontré Benoît et Luca quelques mois plus tôt et débuté le stylisme de la Japan line le temps de quelques sorties.
Du techwear, j’en portais depuis des années pourtant. Cela se traduisait essentiellement par des blousons et manteaux en goretex.
Une illumination dans les hauteurs du Kenya
Prépare-toi, les lignes qui suivent sont un instant « 3615 my life » (pardonne-moi la punchline de 1994). Et oui ! Je ne me suis pas réveillé un matin en me disant « faut que je fasse un article sur ce bomber Polartec ».
Enfin presque.
Boras et la montagne
Rarement évoqué sur le blog, j’aime le trek et partir en pleine nature avec mon sac à dos. Le plus souvent sans aucune préparation d’itinéraire et en me laissant porter au gré des rencontres. Avec toujours pour objectif, un petite ascension en montagne. La dernière aventure en date m’a mené en Afrique. Plus précisément au Kenya où trône le Mont Kenya, deuxième plus haute montagne du continent.
Si tu ne connais pas la montagne, c’est aussi magnifique qu’extrême. Plus tu montes et plus les conditions thermiques se compliquent et fluctuent selon l’heure ou la position du soleil. En gros, tu peux attaquer un col le matin au soleil et être bien en tee-shirt, le passer à midi, te retrouver à l’ombre et perdre d’un coup 10 degrés en étant en plein vent.
Et là, si tu n’es pas équipé un minimum, tu ne passes pas le meilleur moment de ta vie.
J’ai depuis des années une sorte de polaire à capuche Millet. Elle m’a suivi pendant mes plus durs moments en montagne (je n’ai pas fait l’Everest non plus) et parfois les pannes de chauffage à la campagne dans notre vieille ferme familiale.
Un bonheur à porter.
Quand les températures variaient, pas besoin de l’enlever comme une polaire classique et en plein froid, elle était rudement efficace.
Ma meilleure pote en voyage (après Antoine quand même).
Un workout en montagne
Bref, nous étions au camp de base où l’on devait dormir avant d’attaquer de nuit les derniers 600m menant à Lenana, point à 4985m (maudits soient ces 15 derniers mètres pour parler d’un 5k haha). Il faisait encore bon dehors et je m’essayais à un petit workout à 4300m, « pour voir ».
C’est là que je remarque l’étiquette « Polartec » sur ma polaire.
Je ne l’avais jamais vu avant, peu geek que je suis quand il s’agit de « technique ».
Et le bomber Bonne Gueule me revient à l’esprit de nulle part. Je trouve marrant le lien et me rappelle vaguement de l’article de Ben. C’est surement le seul moment de l’année où je ne pense pas « vêtements / blog / Borali » et là, je cogite un peu. Je me souviens d’un accueil mitigé et d’une pièce pas forcément comprise.
Que je n’avais pas comprise.
Je me dis sur le moment « ah ouais, il devait être bien confortable ce bomber en fait » puis entends l’appel à la gamelle de notre guide Kennedy et file.
On doit se coucher tôt, on se lève à 2h du matin.
Boras d’Arc
Il a fait froid cette nuit-là. Vraiment très froid. Nous sommes passés de 18 degrés à -10 en quelques heures. Mais ça, on ne le réalise pas vraiment dans notre toile de tente fatiguée par les années et nos duvets des années 70 tout troués. Si tu me lis papa, j’ai compris ce jour-là tes aventures en moto à dormir sur la route en pleine montagne l’hiver.
On grelotte et dort collé comme si l’on s’aimait, Antoine et moi.
Je ne sais pas si c’est la fatigue, le froid ou le mal des montagnes, mais cette nuit là, j’ai l’impression de délirer un peu.
Tu sais le genre d’état où tu ne sais pas si tu es éveillé ou non, où ton esprit part un peu dans tous les sens, comme lors d’une poussée de fièvre.
Et au milieu de mes divagations nocturnes, je « rêve » du bomber technique Bonne Gueule…
Oui je sais, c’est chaud !
Dans ce rêve, je discute avec Ben et je lui dis que j’ai un super feeling, que cette matière m’a sauvé la vie au Kenya (d’où la supposition que je délire à cause du froid) et que je veux que les clients de BG réalisent à quel point il est cool. Rêve oblige, en un claquement doigt, je lui montre des tenues que j’ai imaginées.
Je lui dis que ce bomber, il y a vraiment des trucs cools à faire avec et que je veux en faire un article…
Le reste devient flou et bientôt je me réveille.
Gelé, comme Antoine.
On tire le zip de la porte de notre caverne de nylon et stupeur, tout est gelé.
Un décor lunaire.
Pas le temps de s’extasier, il faut aller manger un bout au coin d’un feu et partir à l’assaut de Lenana point.
Tout ça va me trotter dans la tête pendant la montée, à la lumière de la pleine lune.
Quel spectacle.
Retour en France
J’aurais même pu titrer « retour au premier hotspot WIFI », j’ai du envoyer le message à Ben quasi après ceux à mes proches. Roi de la procrastination, je préfère éviter d’oublier. Il trouve l’anecdote amusante et me pose des questions sur ma polaire Millet Polartec, en passionné de techwear qu’il est.
Je n’ai pas les réponses bien sûr, en passionné de style avant tout.
On rigole (oui ça peut nous arriver même si l’on est pas les plus souriants en photo !!)
Il aime bien mon idée et toujours aussi altruiste me dit « donne-moi ton adresse, on te le livre ».
J’allais basé un article « seconde lecture » sur un songe / une illumination au Kenya.
Allé !
Mon regard sur le bomber technique Bonne Gueule
Après ce petit carnet de voyage, rentrons dans le vif du sujet et parlons plus en détails de la pièce. Depuis cet épisode, mon regard sur ce bomber en Power Stretch Pro a changé. Radicalement.
La couleur
Je n’avais pas été emballé par ce gris très clair, une couleur que je n’aime pas porter en général. J’aime les gris anthracites ou chinés, ou à motif (chevrons, prince de galle & co). Le shooting avait été fait un plein soleil, sur l’Etna. L’idée était de montrer les propriétés techniques de la pièce je suppose. Aussi vitale soit elle, cette grosse boule de feu est un cancer pour la photo de vêtements. Je trouve que cela altère les couleurs. Et c’était le cas ici. Comme tu peux le voir sur les photos, il est plus foncé et profond. Une couleur qui n’a rien de complexe à porter et s’avère avoir du punch en dernière layer.
Même si ça n’est pas sa mission première.
La texture
Si la touche de nylon dans la composition est avant tout pour prévenir à l’abrasion, c’est aussi un petit plus en texture. Sur les close-up, c’est visible, elle a un petit quelque chose. Qu’on soit clair, c’est une pièce technique, ce n’est pas ce qu’on lui demande d’avoir du cachet. Mais c’est un plus.
Avec la couleur profonde et cette texture, on a une pièce qui devient sympa en layering aussi et qui ne se limitera pas à des combos proprets.
le design
Pas de scoop, c’est celui d’un bomber avec le col et les poignets bord côte. L’idée est d’avoir une pièce qui reste sympa visuellement à porter seul. Des poches zippées pour garder tes affaires perso (moi je préfère les poches de mon jean, peut être plus risqué). La coupe reste slim puisque pensée pour un mid layer et donc pouvoir éviter l’effet bibendum. C’est l’idée de Benoît.
Et ça se tient, le col dégagé est intéressant et rend la pièce invisible portée sous un outwear. Important pour une composition de tenue. Et puis avec un « funnel neck », tu ne peux plus trop le porter en soirée d’été.
Son utilité
Je ne vais pas paraphraser la fiche produit. Je peux simplement confirmer, après usage intensif et à différente période de l’année, qu’elle est un vrai plus de confort. Hors grosse phase caniculaire comme cet été, je l’ai eu sur le dos le soir à la campagne. Ou bien encore en prenant le train, avec des clims assez agressives et bien sûr cet hiver (bon techniquement, on n’y est pas encore entré oui). Je la garde actuellement dans ma maison familiale dans le Perche. C’est confortable et tu peux sortir et entrer de la maison, sans forcément te changer.
Maintenant que l’on a vu tout ça, rentrons dans ce que l’on aime sur Borasification : des tenues, de l’inspiration et du style street heritage… mais pas que cette fois-ci !
Ah si tu veux t’arrêter là et est déjà emballé, il est dispo ici.
une pièce pour faire du streetwear tech
Et pour commencer, une tenue techwear, quoi de plus évident ! Parce oui, si tu es lecteur de Bonne Gueule, tu le lis souvent, et sans l’être, ça revient. Comme tout cela a été marqueté comme pas possible ces dernières années… Et pourtant, ça existe depuis toujours. Rien que Visvim fait des pièces en GTX depuis 15 ans. Le techwear, c’est une sous-branche du style streetwear qui vient principalement de Hip-Hop US avec en porte-étendard les rappeurs de la côte est dans leur parka The North Face ou Helly Hansen. La passion des japonais pour l’outdoor et leur amour de la culture américaine ont aussi joué, je pense. Il n’y pas de vérité absolue haha.
Un layering 100% technique
J’aime porter des outwear en goretex depuis toujours. Enfin, depuis que je peux m’en offrir. Mais je ne regardais jamais sur les mid-layer et encore moins les tee-shirts.
Benî, un tee en laine mérinos bluffant
Au gré d’une rencontre, j’ai découvert Benî, un projet français qui travaille le la laine en « mérinos absolu » (c’est du reda active). Prix vraiment attractif et texture sympa, j’étais curieux de tester après en avoir tant entendu parler sur les forums d’outdoor.
On ventait des propriétés dingues de thermo-régualation, de non-prise d’odeur… Je l’ai testé en condition extrême soit près de 10 jours sans lavage avec parfois deux ou trois jours de port de suite, entre avion, train et bricolage à la campagne.
Il sentait à peine et encore, il fallait mettre le nez dedans (oui j’ai pris des risques pour te faire ce feedback !).
Et c’est super agréable pour dormir aussi si jamais.
BG en a sorti un aussi depuis, je n’ai pas les gammes de prix en tête mais si ça peut aider le Benî est plus long. Je l’ai pris en M mais pourrais le prendre en L.
Tu peux le trouver ici.
Layering de gris et noir
L’idée ici est bien sur de partir sur un dégradé de gris avec un top-layer noir.
La composite jacket de Veilance (ligne design de la marque canadienne d’outdoor Arc’teryx) est une veste légère en goretex mais qui, pour garder en mobilité et légèreté, utilise aussi une matière plus fine sur les parties moins exposées au vent ou intempéries.
Le bomber technique Bonne Gueule, au-delà du style prend tout son sens en terme de régulateur thermique. La parka coupe du vent et la pluie, le bomber gère la partie chaleur.
Si tu fais du vélo ou de la photo l’hiver, tu comprendras aisément l’utilité.
Une idée de la pièce portée sans rien d’autre. J’ai pris une taille M pur un M classique. J’ai bien fait de ne pas prendre une taille de plus, cela aurait été un non sens avec son utilité.
Le tee mérinos Benî et le bomber vont plutôt très bien ensemble. Tu peux faire un techwear de style basique sans faire l’impasse, et sur le style et sur le confort. Et tout cela, sans ressembler à un ninja urbain comme on peut le voir sur instagram (attention, j’adore ce style. Seulement, je comprends qu’il puisse rebuter dans une France très conservatrice en matière de style).
Coupere tapered & sneakers waterproof
La touche street tech, elle vient aussi du denim.
Une coupe bien tapered maison et que l’on travaille pour notre premier jean Borali (mais chut). Le jean a plus de 5 ans et vu bien des pays et aventures oins glorieuses. Je l’aime. Mais genre vraiment.
Aux pieds, des Nike Flyknit Chukka FSB sorties il y a 4 ou 5 ans. Elles ont la particularité de ne pas prendre l’eau et ce, sans goretex. Pas la paire la plus respirante. Je transpire très peu donc pas un soucis mais si ça n’est pas ton cas, passe ton chemin.
Une touche de casual chic
Alors surpris ?!
Bon il y a 6 mois quand je les ai prises, je ne montrais pas sur Instagram ce genre de tenues, je comptais te surprendre dans l’article!
Il m’arrive de faire ce qui se rapproche du style casual chic cher à mes potes de BG et leurs lecteurs. Avec toujours une petite touche street. Je lui avait trouvé un nom dans un précédent article.
Le casual street.
L’idée est de prendre les codes de l’élégance classique en piochant dans les pièces emblématiques (chaussures, manteau, blazer, etc…) et de détourner tout ça avec quelques pièces barrées ou une façon de les porter différentes.
Heritage et modernité
Les pardessus en tweed, c’est beau et cela te classe de suite une tenue. Laine de chez Moon ou Harris, épaisse ou pas, on peut vite se les geler avec quand même.
Et c’est là que je trouve intéressant le bomber technique Bonne Gueule.
J’ai choisi une tenue que je porte quand j’ai des RDV client dans mon activité pro (régie pub digitale) donc je peux, je ne suis pas obligé d’être en veste / chemise . Et plutôt que de porter un gros pull qui va me tenir trop chaud une fois dans la salle de réunion surchauffée, je lui préfère cette couche technique fine.
je ne suis pas engoncé dans mon manteau et avec la démocratisation des down vest / doudoune sans manche d’Uniqlo, cela ne transgresse pas les petits codes conservateurs de l’entreprise.
Il passe aussi crème avec une chemise en chambray (la couleur a un peu sauté au traitement photo, si j’ai le temps j’éditerai. Tu vois l’idée en tout cas). Gris et bleu chambray, c’est un combo gagnant. Le bomber permet aussi la transition avec le tweed épais et profond.
Un jean tapered size-up pour la touche street (heritage)
Le pantalon / jean est la pièce qui fait la tenue et lui donne sa direction. C’est comme ça que je compose chacune des miennes.
Ici, je porte le Iki de Phi Denim. Une coupe tapered que je porte légèrement trop grand afin de le laisser tomber sur mes hanches. c’est un gimmick de style que j’affectionne et qui caractérise mes silhouettes avec un dynamisme visuel fort.
Et chill dans le confort.
La tenue se termine sur une paire de derby en cuire grainé. La semelle commando garde ce coté plus brute et héritage. Ces détails permettent de garder une dégaine moins lisse.
Jamais deux sans trois
Et pour finir, une tenue postée sur Instagram avant l’été et qui reste ma préférée avec ce bomber.
Une tenue « casual techwear » par excellence avec des volumes et détails street heritage.
Indigo, gris, burgundy, marron.
Du cuir, du coton, de la laine, du polyester, du nylon.
Un beau bordel comme dirait l’autre.
Les règles, tout ça, un autre bon exemple non 😉
Alors convaincu par le bomber technique Bonne Gueule ?
Les articles seconde lecture sont l’occasion de proposer une autre vision et d’essayer de t’amener avec moi dans mes idées. Je n’ai bien sûr rien à te vendre ou ne touche de commission. C’est plus un exercice de style et un petit défi personnel. Donc je te la pose question :
As-tu été convaincu par ce bomber technique Bonne Gueule ?
N’hésite pas à me laisser un commentaire, j’en discuterai avec plaisir avec toi (ou tous ensemble).
Si j’avais eu à concevoir un mid-layer
Et pour terminer cet article sur une touche créative, je me suis pose une question à moi-même.
« Et toi Boras, comment tu l’imagines ton mid-layer parfait? »
Alors déjà, la perfection n’existe pas et le voir écrit me file des boutons. Ce n’est pas beau de mentir en plus. Donc revenons à notre mouton.
Repenser ce bomber.
Ben si tu me lis, voici ma proposition pour une V2 de ton mid-layer qu’on pourra sortir en collab’ (laissez-moi rêver les gars!)
Je partirai sur :
- une base de liner de field jacket
- avec donc un col dégagé aussi
- toujours en Power Stretch Pro
- de couleur olive
- dans une nuance claire, proche des vestes lavées par le temps
- avec des poignets gansés contrastées en olive foncé (le col aussi)
- et un buste plus plus droit
- boutonable + zip façon M65 (bon ça ferait exploser le prix ça ^^)
- et des poches droites à rabat ou zipées
Je n’ai pas le temps de la dessiner désolé (et je fais gaffe, j’ai appris que quelques marques piochaient des idées ici, faut me MP les gars, je serai ravi d’aider !).
Je vois très bien cette pièce venir s’insérer dans un vestiaire street heritage comme. plus casual chic. La couleur serait un gros plus pour la combiner et porté en top-layer, ce liner technique serait peut-être plus charismatique.
Après, ça reste facile de faire une proposition trois ans après. Je reste convaincu que ce bomber technique est une pièce vraiment réussie qui, si elle sortait aujourd’hui, et avec la maturité de la marque Bonne Gueule, ferait un soldout dans le weekend.
Tu peux te le procurer sur le shop de Bonne Gueule ici.
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