Il n’y a pas de saison pour porter une chemise militaire, tant que tu l’as choisie assez ample pour ne pas être boudiné dedans dès lors que tu portes autre chose qu’un tee-shirt dessous.
D’ailleurs on lit souvent « surchemise militaire ».
Pourtant, c’est un non-sens pour les amateurs de militaria vintage : « Bo, c’est chemise ou veste, tu ne liras jamais le terme overshirt dans les archives de l’armée » me répète Thibaut le fondateur de Arashi Denim.
Je parle beaucoup de cette marque mais j’aime tout : l’homme, son approche, ses produits et …
Son sens de la surprise !
Comme nous sortir de je ne sais où, à Nikko et moi, cette chemise P43 faite dans un coton HBT imprimé, d’un coté desert tiger stripe, de l’autre léopard.
La pièce est folle, et super limitée. Normal, Thib avec ses contacts en Thaïlande a pu mettre la main sur une fin de rouleau deadstock d’une matière japonaise.
(en cherchant bien tu la retrouveras sur une ancienne pièce Kapital)
15 ans d’expérience, ça joue.
Du coup, j’ai oublié te parler de la tenue !
Une association pénalty : un veste militaire motif camo, un sweat de couleur pastel, un jean large et une paire de Paraboot.
Tu ne peux pas te tromper 🙂
(retrouve d’autres photos de ce camo ici et la rubrique de Nikko Histoire de camo là)
Les références
surchemise : arashi denim
sweat-shirt : levi’s vintage clothing
tee : gap
jean : hatski
chaussettes : tex
chaussures: paraboot chambord
bijoux : borali / vintage / first arrows