Si la période est assez calme en ce moment, il n’était quand même pas question de rater le coche et d’oublier la maintenant traditionnelle, et annuelle, « non-liste » de Noël. Oui, je sais. C’est assez ironique de proclamer ne pas publier de sélection tous les ans, tout en faisant exactement le contraire, au fond. Comme d’habitude, il faut simplement considérer tout cela comme l’expression des envies de chacun. Et non pas comme une ode à la consommation déraisonnée. D’ailleurs, je crois comprendre que nous sommes plusieurs à avoir inclus des choses qui nous sont assez inaccessibles. C’est peut-être ça aussi l’esprit de Noël. Avoir des idées de grandeur et finir avec des papillotes pas très bonnes.
Et on commence avec la liste Noël 2022 de ton « rédacteur préféré ». C’est pas moi qui le dit, mais Boras.
La liste de Nicolas
Si je suis un habitué des sélections (souvent à rallonge) pour conseiller les autres, exposer ma wishlist au monde n’est pas dans mes habitudes. Il faut dire que demander ne serait-ce qu’une paire de chaussettes Rototo à vingt-cinq balles me semblerait assez indécent. Mais entre nous, on est un peu désensibilisés sur le sujet. Je vais donc en profiter pour assumer mon goût pour le haut de gamme.
Un (deuxième) pantalon Auralee (en soldes)
Et quoi de mieux qu’un pantalon Auralee à 525 euros retail pour rentrer dans le vif du sujet ? J’aurai prévenu. C’est en essayant ce modèle beige en laine-cachemire chez Summer à Lyon que je suis tombé dans le piège. Taille haute, bien ample, pinces superbes… Le truc m’allait parfaitement au premier coup.
Si j’ai fini par me rabattre sur un autre pantalon Auralee en seconde-main, dans un coloris bien plus polyvalent et à un prix pas complètement absurde, je n’ai toujours pas oublié mon premier amour. Un sold out avant les soldes me soignerait peut-être. En attendant, c’est une marque que je surveille de plus en plus.
Plus de fringues Arpenteur
Un point commun avec la suivante ! Arpenteur n’a cependant rien d’une découverte récente. J’avais choppé ma première pièce, une parka en laine « Mevi » très cool dans un coloris vert exclusif au shop américain Oi Polloi, il y a déjà deux ans. Trop petite pour moi, j’ai fini par la revendre et retrouver mon bonheur à l’occasion des braderies lyonnaises bi-annuelles.
Ce qui me permet de régulièrement passer trois heures à essayer tout ce qui me passe sous la main. C’est sympa, mais un peu dangereux. D’où mon dernier achat en date, une veste en Primaloft boxy « Loft J » qui m’a réconcilié avec les doudounes. Maintenant, j’ai envie du blouson court « Evo » en moleskine. Du costume casual en flanelle « Fox ». De la chemise « Doris » oversize à la Evan Kinori. Bref.
Chopper un outerwear Document
Pour compléter ce trio de la ruine, je termine avec une marque qui me passionne depuis quelques saisons : Document. Je t’ai déjà régulièrement parlé de ce label aux silhouettes délicieusement molles, notamment dans un numéro de la Revue de mode ainsi que dans notre sélection des méconnues et prometteuses marques coréennes contemporaines. Découverte grâce à la boutique Namu Shop, j’ai encore le souvenir d’avoir bavé sur le robe coat en gros drap de laine melton.
Si je devais choisir aujourd’hui, je me dirigerais surement plus vers une « Big Pocket Jacket ». Du boxy à porter avec une taille haute et pourquoi pas un peu de stacking.
Une paire de GATs ?
Sur une paire de German Army Trainers, évidemment. J’ai toujours eu envie d’en essayer dans une version un peu cool, avec de belles matières. Très certainement à force d’en voir passer dans les lookbook Document, Mfpen ou De Bonne Facture. Avec les « répliques » de Margiela et Reproduction of Found en tête qui proposent des silhouettes bien plus réussies que les originales (vendues honteusement chères dans les select store parisiens).
Ou une paire de Golf (-like)
Car je commence doucement, mais sûrement, à m’éloigner un peu des formes imposantes. Ou « pataudes », diront certains. Même avec un pantalon bien large, je préfère bien plus souvent porter mes Converse que mes Stepney. Et si je ne veux pas dénigrer les « Chambord » de Paraboot, une paire que je porte encore beaucoup, mon vestiaire semble prendre une direction qui réclame plus de finesse.
J’ai donc en tête quelques modèles pour les remplacer à terme. Toutes basées sur les « Golf » de J.M Weston (petite préférence pour la triple semelle, même si ce n’est pas très cohérent avec tout ce que je viens de dire). Je pense notamment à la nouvelle derby de chez Jacques & Démeter. Mais aussi à rester chez Paraboot avec la « Mirage » pour Arpenteur, un vrai coup de coeur à l’essai qui gomme les défauts de la « Chambord » pour moi.
De nouvelles lunettes
Si j’ai souvent beaucoup de mal à justifier mes achats, ce n’est pas le cas quant il s’agit de choisir des lunettes. Il y a quelque chose d’imparable dans cet argument du « toujours sur ta tête ». Un accessoire indispensable (et médical !), qui est comme une extension de ton propre corps. Oui, je suis bien en train de défendre mon envie de lunettes en titane japonais. Et je n’ai même pas sortie la carte « bijoux ».
Matsuda et Eyevan 7285 sont deux premières pistes bien solides. Il y a également Lazare Studio, une marque créée par le fondateur d’Entrevues à Lyon. Un opticien qui donne envie d’être myope.
Une montre (pas trop) minimaliste
J’aime beaucoup les montres. Mais il est parfois difficile de trouver une taille qui me convienne parfaitement, avec une tendance du marché qui était à la surenchère et aux modèles oversize (les fameux parpaigns Diesel). Alors si le Père Noel en personne lit ses lignes, j’aimerais qu’il m’apporte une montre dans un esprit minimaliste. Une Nomos dans un grand élan de générosité, ou une « Max Bill » Junghans. Si le budget est un peu serré, peut-être une petite Braun « AW10 » vintage.
Des bouquins et des magazines
Après cet ode à la consommation, finissons par l’inévitable caution « intellectuelle ». On reste néanmoins dans le thème. J’essaye depuis quelques temps de me faire une petite bibliothèque de livres et de magazines cool. Avec l’envie de compléter la proposition très « catalogue d’inspis » d’eye C par des choses qui vont plus loin. Comme Inventory, une excellente parution malheureusement terminée en 2016 et difficile à trouver en occasion. Je regarde aussi du coté de Brand Balance, sans trop savoir ce que ça vaut. En bouquin, « Ideas from Massimo Osti » est tout en haut de la liste !
La liste de Jordan
Le « Grandad coat » De Bonne Facture
Loin de moi l’idée de spoiler la suite de cette sélection de Noël qui n’en est pas une, mais comme en reparlera Boras dans quelques lignes, je me suis moi aussi laissé aspirer par la dernière collection de la marque De Bonne Facture à l’occasion d’un passage dans leur boutique. Mais si je ne devais garder qu’une pièce, ce serait le grandad. Prise de risque 0 je l’admets, mais une vraie tarte une fois le manteau sur les épaules.
Belhaven wool fleece Kestin
Le froid est arrivé et le besoin d’une nouvelle fleece pour l’hiver commence à se faire sentir. Le design de la Belhaven de nos amis de chez Kestin me parle vraiment. Entre cette couleur oatmeal que je trouve particulièrement bien sentie, et le jeu de textures permis par les utilisations faites de la matière, c’est un sans faute. Dispo chez Tempest Works (-10% avec le code boras10)
Big Ol’ Corduroy Trousers chez Stüssy
Du velours côtelé, du rose, une coupe droite au confort qui sent bon le skatewear. Barena avait déjà attiré mon attention un peu plus tôt dans la saison avec un pants du genre, mais ce modèle de chez Stüssy sent bon le confort. À porter à la maison comme un sweatpants.
Force 2 way duffle bag olive – Porter Yoshida bien sûr
C’est en cherchant un sac pour trimballer mon pc et quelques-unes de mes affaires que je suis tombé un peu par hasard sur ce sac 48h qui représente tout ce que j’aime chez la marque japonaise Porter Yoshida. Mention spéciale à ces trois poches frontales qui lui donnent un relief plus qu’appréciable. Et un prix qui semble plutôt « raisonnable » en comparaison des tarifs pratiqués habituellement par la marque.
New Balance M2002RDD
Je me tiens de plus en plus éloigné des sneakers (Nike et New Balance en tête, deux marques qui ont bien trop longtemps représenté une part non négligeable de mes dépenses chiffons). Et si la première ne me fait à présent ni chaud ni froid, la seconde arrive encore régulièrement à attirer mon attention. C’est le cas avec cette M2002RDD à la shape et au coloris inspirés.
Quelques bouquins pour finir l’année en beauté
Noël est aussi généralement pour moi l’occasion d’enrichir ma collection de bouquins (d’autant plus que, soyons honnêtes, il me semble bien improbable de faire l’acquisition de toutes les pièces présentées ci dessus). Trois lectures dans des registres complètement différents que j’envisage pour cette fin d’année :
Status and Culture – David Marx : Après « Ametora », David Marx explore cette fois ci les origines de notre écosystème culturel et les relations qu’il entretient avec notre recherche de statut social.
Talion, volume 2 – Sylvain Ferret : La suite d’un premier volet particulièrement réussi, aussi bien visuellement que sur le plan de l’écriture et du rythme. Du cyberpunk sur fond d’effondrement écologique.
The World’s Best Shops : Si tu ne connais pas l’éditeur allemand Gestalten, je te conseille vivement de faire un tour sur son site internet pour découvrir les quelques merveilles qu’il propose (tu es peut être familier des Monocle). Le prochain sur ma liste, un guide des shops les plus innovants à travers le monde, histoire de se donner quelques idées avant d’ouvrir le nôtre !
La liste de Rodolphe
Manteau Thomas Farthing
Si il y a un label qui me fait de l’œil depuis quelques années, c’est bien Thomas Farthing. Lancée en 2012, la marque anglaise évolue dans un style british des années 30-50. Faisant la part belle aux belles matières, elle développe un vestiaire large et cohérent. Et parmi toutes les pièces qu’elle propose, j’ai jeté mon dévolu sur son « Storm collar pure wool pea coat ». Avec son épais drap laine couleur rouille et son énorme col, aucun doute que je vais finir cet hiver glacial bien au chaud.
Sweater Filson
Autre marque dont je suis régulièrement l’évolution : Filson. Et quand tu t’intéresses au workwear ou à l’outdoor, ce nom te dit forcément quelque chose ! Et après avoir bien bavé sur à peu près toutes leurs vestes sans manches et leurs gilets-sacoches, je me suis arrêté sur leur « wool fisherman’s sweater ». Proposé en deux couleurs, c’est sa version orange bien pétante qui, pour moi, vaut vraiment le coup. Alors oui, le prix pique, mais putain, qu’est-ce que c’est beau !
Chino double pleat Belafonte Ragtime Clothing
On continue dans l’esprit Thomas Farthing avec une marque japonaise âgée de dix ans : Belafonte Ragtime Clothing. À l’instar de The Real Mccoy’s, le label japonais réinvente le style americana, la « magic touch »japonaise en plus. Les tissus utilisés sont magnifiques, les finitions impeccables, bref, difficile de trouver quelque chose à redire (le prix peut-être ?). En fouillant son vestiaire, je me suis arrêté sur un chino. Pièce ultra basique, c’est pourtant un pantalon qui me manque réellement dans mon dressing et celui-ci répond parfaitement à toutes mes attentes : taille haute, double pleat et belle teinte khaki. Une beauté !
Danner boots
Si je voue un amour inconditionnel pour Red Wings, il y a une autre marque de boots américaine qui m’intéresse beaucoup : Danner. Et la raison est toute simple : elle propose l’une des plus belles paires de boots bi-matière que j’ai jamais vu. Le nylon moutarde se marie à la perfection au cuir grainé marron chocolat. Mais plus que sa teinte, c’est aussi la hauteur de la boot qui me plait. Ajoute à cela une semelle Vibram et des liners en Gore-Tex et tu as là l’une des meilleures paires de boots pour passer l’hiver les pieds au sec (et au chaud).
Couette Pendleton
Là, je t’avoue que c’est un petit caprice. Cela fait un moment que je fais une fixette sur les couettes navajo, dont j’adore les motifs et les couleurs. Et quand il s’agit de trouver une pièce qui sort de ce qu’on peut voir habituellement, Pendleton se pose là en référence. La marque américaine en a fait sa pièce maîtresse et je dois dire que celle-ci est magnifique. Si bien sûr, je m’en servirai principalement sur mon canap’ à mater n’importe quoi sur une plateforme de streaming quelconque, je me dis que réussir à la glisser dans un outfit, ça doit forcément rendre quelque chose de bien bien cool.
Sac à dos Kasperi
Kasperi, ça ne te dit peut-être pas grand chose, et c’est normal. Pourtant, la marque finnoise existe depuis 2011 ! Par le passé, j’ai eu la chance de tester l’un de leurs modèles, le “Fold Top”, et je dois dire que j’en suis littéralement tombé amoureux. Le cuir utilisé, grainé et marron caramel, est juste magnifique. L’intégralité du sac est fait main, et ça se voit. Les finitions sont impeccables et servent un style absolument réussi, 100% outdoor. Là encore, il coûte un petit billet mais c’est un sac qui te suivra pendant des décennies sans broncher.
Gants The Real Mccoy’s
Je termine cette liste de souhait avec une paire de gants, accessoire indispensable qui me manque terriblement en ce moment ! Et cela fait des années que je fais une fixette sur des gants de motard jaune. Pourquoi ? Parce qu’à mon humble avis, le jaune est l’une des meilleures couleurs pour une paire de gants. Sur cette paire de The Real Mccoy’s, la forme fine et surtout l’absence d’élastique au niveau des poignets la rendent passepartout. Pas besoin donc de sortir le total look biker pour pouvoir les porter !
Et la liste de Boras pour terminer
Un balloon pants pas trop large avec De Bonne Facture
Il aura suffi d’un passage en boutique pour un vernissage pour que je tombe dans la piège de la dernière collection De Bonne Facture. Ce n’était pas une nouveauté que la marque française me plaisait, on avait pu en parler avec son chino au volume séduisant. Mais là, si tu trouves déjà les pièces belles en photo… Dis-toi qu’en vrai, ça l’est encore plus. J’ai craqué sur le raglan en Harris Tweed, véritable coup de foudre. Mais le même jour, un pantalon a retenu mon attention.
Car il est rare qu’une coupe de pantalon me plaise vraiment à 100%. Ce balloon est une vrai réussite, et je vais me l’acheter avant Noël, je l’annonce. Ce sera le peach skin pour moi, donc tu me le laisses et te penches sur l’écru ou le vert en velours complètement fou.
Un casquette en laine verte A Kind of Guise
Là encore, une pièce dont je rêve la nuit alors que ce n’est qu’une simple casquette me diras-tu. Mais voilà ce vert, pas aussi pêchu qu’en photo, irait à merveille avec mon manteau raglan DBF alors… je vais prier qu’elle soit encore là d’ici la mi-janvier. À noter que les autres coloris sont assez ouf aussi (le ocre jaune, aïe aïe aïe).
Une bague bling bling Bleue Burnham
Aperçue sur Instagram, tombé dessus par hasard chez The Next Door à Paris, j’ai flashé sur quelques bijoux Bleue Burnham. Alors oui, c’est un peu m’as-tu-vu, vraiment onéreux, mais vas comprendre pourquoi j’ai accroché comme ça. C’est peut-être d’en avoir passé une au doigt et d’avoir réalisé à quel point ça dégageait un truc. Si les modèles en or sont hors budget, même craquage de PEL, je me verrais bien avec ce modèle au doigt:
Inspiré de la mycorhization, un procédé qui permet aux plantes de communiquer entre-elles et partager les nutriments. Quelques saphirs (synthétiques j’imagine) et on a une bague qui brille un peu mais pas trop imposante.
Un ballon de basket en laine Casentino de la collaboration Aimé Leon Dore et Drake’s
Pour la déco, parce que j’aime le basket comme jamais et que je ne suis qu’un être faible devant les collaborations bien amenées, ce ballon en laine Casentino serait génial sur une étagère chez moi.
Une étagère que je n’ai pas. Donc j’ai le temps avant d’espérer la trouver à pas trop cher.
Cardigan Kura de chez A Kind of Guise
Oui encore A Kind of Guise mais voilà, c’est Noël et parait qu’il existe le miracle de cette période. J’en profite et pose là une pièce que j’ai trouvé géniale mais sold out en quelques jours. Dommage pour moi et tant mieux pour la marque, petit rappel qu’il vaut mieux faire des vêtements vraiment beaux, clivants et toucher un publique limité mais fidèle. Plutôt que de faire la course au rapport qualité sur des produits lambdas.
Il est peut être là mon vrai cadeau de Noël.
Blazer en laine bouillie 45R
Ma photo cabine est infâme et ne rend absolument pas hommage à l’une des, si ce n’est la plus belle pièce que j’ai touché depuis un bail. Véritable coup de coeur, de justesse et de poésie. Bref, tout ce qui fait de 45R une marque à part.
Mais bon voilà, un blazer en 100% laine mérinos, bouillie, qui est encore assez long pour moi… Je te laisse imaginer le métrage de laine utilisé pour le confectionner. Ajoute à ça l’importation et la main d’oeuvre japonaise, c’est un blazer à 700 et quelques euros. J’ai privilégié le manteau De Bonne Facture.
Chauvin et insatisfait, mais il fallait faire un choix.
Paraboot x Hélas – une Michael bien street
Alors que je me suis jeté sur la collaboration avec Engineered Garments, les noires, je les ai regrettées dès la vue de la paire réalisée avec Hélas, une marque de skate française.
En attendant de revendre les PBxEG, je croise les doigts pour que ma pointure reste disponible.
Un cardigan en mohair et laine violet Needles
Tu as surement aperçu ce superbe cardigan oversize violet tout duveteux sur notre lookbook Borali. Et bien ce Stüssy, bien cool pour de la seconde main, reste en full synthétique et je le remplacerais bien par ce cardigan Needles et son violet si particulier.
Enfin, c’est surtout pour profiter d’une compo laine / mohair à 70% et avoir un truc un peu plus naturel !
Un bureau d’administration vintage
Parce que je me suis bousillé le dos à t’écrire tous ces articles depuis chez moi dans des conditions d’appartement parisien de non-cadre supérieur, j’aimerais un beau bureau. Et je ne suis pas exigeant, pas un truc de designer ou je ne sais quoi, juste un vintage des années 40 je crois. Quelque chose avec un rideau dépliant ça serait top :
Bonus et mot de la fin : rien contre de la réussite pour nos projets
Enfin, plus que de nouvelles sapes ou des bijoux incroyables, j’aimerais que nos projets explosent.
On lance très en retard notre e-shop Repère Store avec comme premières collab’ Nitto Knitwear et Laperruque. On a réalisé des pièces vraiment cool et j’ai juste envie que ça marche. Parce que j’ai des choses assez ouf sur le feu, et que tout dépendra de notre capacité à vous convaincre que tout ça est top !
Allez joyeux Noël à toutes et tous, profitez de vos proches ou juste d’être peinard!